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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 23:00

Hier j’ai rencontrée Besse !

C’était au cours du séminaire annuel de mon entreprise.

Chaque année, est organisé un séminaire pour l’ensemble des collaborateurs avec une partie de travail et une partie plutôt détente ou découverte. C’est à l’occasion de la partie découverte que j’ai découvert Besse, dans le cadre d’une expérimentation « d’Éthologie » du cheval. Vous l’aurez devinez Besse est une jument, une belle jument de 4 ans.

 

Mais qu’est ce que Éthologie ?  C’est un art !

 

Celui de comprendre le cheval, de « lire » le cheval, de savoir de quoi il a besoin pour grandir. C’est d’être avec lui davantage dans la compréhension, moins dans l’appréhension et sans le contraindre.


Comprendre le cheval, c’est se mettre à sa portée, décoder son fonctionnement. C’est savoir se remettre en question, c’est pouvoir se dire « que puis-je faire pour améliorer cette situation, ce mouvement ? »


Il y a quelques points à observer :

  • le ressenti (feel) : sensation difficile à décrire qui passe entre l’homme et le cheval
  • l’encouragement (timing ) : récompenser les efforts et surtout savoir mettre ou enlever la pression au bon moment
  • l’équilibre : c’est l’alchimie entre le ressenti et l’encouragement, trouver le juste milieu entre aller trop vite  ou trop lentement, être trop doux ou trop ferme, … : « L’Homme n’est jamais dans l’équilibre, le Cheval, toujours »

 

Ce qui est amusant dans ce qui est évoqué ci-dessus, c’est que cela devrait s’appliquer dans nos relations avec les autres et particulièrement avec nos enfants !

 

Relisez le texte ci-dessus en substituant le mot cheval par enfant, surprenant !

 publiee-0945.jpg

 

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 17:19

Connaissez-vous l’histoire du vieil homme chinois et de sa philosophie de vie ? Je vous la résume ci-dessous, mais si vous souhaitez la découvrir entièrement, vous la trouverez ici.


C’est un vieil homme très pauvre, que les rois eux-mêmes jalousaient, car il possédait un magnifique cheval blanc qu’ils voulaient lui acheter à tout prix mais lui refusait : " Ce cheval n'est pas un cheval pour moi, disait-il, c'est une personne. Et comment pouvez-vous vendre une personne, un ami ? "


Un jour son cheval disparu de son écurie, … les villageois s’exclamèrent : « il aurait mieux valu le vendre, maintenant, on te l’a volé… quelle malchance ! "


Le vieil homme répondit : “Chance, malchance, qui peut le dire ?”»


Il ajouta : " N'allez pas si loin. Dites simplement que le cheval n'est pas dans l'écurie. Ceci est un fait, tout le reste est un jugement. Je ne sais si c'est un malheur ou une bénédiction, car ce n'est qu'un fragment. Qui sait ce qui va suivre ? "


Je vous engage à découvrir la suite de l’histoire ici avant de poursuivre …


Parfois on peut se croire malchanceux ou chanceux … Mais c’est avant tout un état d’esprit… Une vue de l’esprit ….Notre propre jugement !


« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les jugements qu’ils portent sur ces choses » (Épictète)


Un jugement dont on est trop souvent prisonnier parce que notre société et notre éducation nous ont appris, tout petit, à forger de tels accords avec nous même. Des accords nocifs et qui nous plonge dans un mauvais état d’esprit …


Avec la perte d’un proche, on est peiné, meurtri et parfois on a du mal à s’en remettre. Si on entre dans un processus de malheur et de malchance, que l’on ancre en soi, que l’on consolide petit à petit … au fil des années, on se forge de mauvais accords avec soi même.

C’est ce qui m’est arrivé quand j’étais plus jeune avec la perte de mon petit frère, j’ai eu la même impression que ces villageois : je me suis dit quel malheur, quelle malchance ! Et bien d’autres choses encore… J’ai longtemps cru qu’Il ne pouvait pas en être autrement et j’ai entretenu ce phénomène avec des échecs à répétition et des difficultés vécues.


« Vous agissez contre-vous-même lorsque vous jugez » (Don Miguel Ruiz)


Il faut pas mal d’années pour désapprendre, rompre ces mauvais accords réalisés avec soi-même, en faire un nouveau et se mettre de nouveau à rêver !


Aujourd’hui, je crois qu’il n’y pas plus de malchance que de chance, il y a simplement à transformer notre regard sur les événements de la vie.


« Accueillir toute situation comme occasion de se transformer, c'est grandir véritablement » (Yvan Amar)


Il est nécessaire de changer notre état d’esprit, d’attirer à nous de meilleures énergies … A nous de montrer la voie et de tracer notre route …


Pensee-du-jour 2190

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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 22:15

Je ne trouve pas l'inspiration, c'est elle qui me trouve ! Ou plutôt je la provoque en duel !


 Pensee-du-jour 1761

 

Un duel très simple à mettre en œuvre, à mettre en scène. Tout commence comme dans un jeu, avec des règles simples.

Je repère dans mon vécu au quotidien ce qui me fait vibrer intérieurement : des impressions bonnes ou mauvaises, ce que je ressens, de plaisant ou non, et petit à petit les idées se précisent heures après heures, jours après jour, je laisse les choses venir avec sérénité.

 

Plus je suis serein et en bonne disposition et plus c’est facile pour la suite.

 


La suite est encore plus facile, c’est comme un problème de math ! Je laisse faire les choses la nuit.

 


 Pensee-du-jour 5454


 « Le pouvoir de l'Univers est votre pouvoir.

La lumière de l'Univers est votre lumière.

L'énergie de tous les temps et de tous

les espaces vibre à l'intérieur de votre

conscience éternelle, vous engageant

toujours dans d'élégants actes de création.»

Sandra Anne Taylor

 

 

 


Comme pour ce premier billet d’humeur sur la création écrite après une nuit de travail, mais un travail pas comme un autre.


Tout commence par les impressions que j’ai notées et les sentiments que cela a provoqué. Une fois que j’ai décidé ce que je vais faire, j’organise quelques idées que j’ai en tête, et je décide de manière positif que je vais faire quelques choses de satisfaisant.


Je débute par une première phrase, une première accroche, puis une seconde viens à la suite, puis une troisième…


Après je me projette plus loin dans le temps, généralement au petit matin avec l’exercice terminé. Je visualise le résultat. Comme j’ai décidé que j’étais satisfait du résultat, je reviens dans la réalité, je fais confiance à la nuit de travail qui m’attend, à mon imagination et au somme qui me gagne…

 


 publiee 5362

 

« L'imagination a été appelé les "Ciseaux de l'esprit" et, en fait, découpe, découpe sans cesse, jour après jour les images que l'homme y forme et, tôt ou tard, il rencontre sur le plan extérieur ses propres créations.» Florence Scovel Shinn

 


 Le lendemain je n’ai plus qu’à écrire, reprendre les idées, parfois faire des digressions et revenir sur le sujet, mais c’est comme un problème de math, je m’endors avec le problème et je me réveille avec la solution !

 

« Tout ce que vous imaginez existe. Tout ce que vous imaginez est créé. Tout ce que vous imaginez est votre création.» Daniel Briez

 

Bon il arrive que lorsque le problème est complexe, la nuit soit plus agitée avec une phase d’éveil assez surprenante et toujours sur deux heures possibles : soit à 2h30 soit à 4h du matin.

 

Là, j’ai deux solutions : je me lève pour noter tout ce que j’ai en tête au risque de ne pas me recoucher ou je laisse venir les idées sans lutter sereinement - ce qui me permettra d’être moins fatigué que si je lutte pour dormir - en me disant que cela participe au processus de création  …

 

J’ai longtemps utilisé la première solution pour finalement préférer la seconde aujourd’hui. Mais quelque soit la nuit passée, je rends grâce de cette création !


 2011-02-00-CARNAC

 

« Il existe une loi inhérente de l'esprit qui dit que nous faisons grandir ce que nous louangeons. Toute la création réagit à la louange et à la gratitude.» Charles Filmore

 

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21 février 2012 2 21 /02 /février /2012 06:29

Tout commence par une page blanche, où les premiers mots s'alignent, les uns après les autres pour composer une première phrase.

Comme dans une partition, les mots s'assemblent, créent une musique, celle de l'esprit. ils tracent sur la page les pensées et les sentiments de leur créateur. Ils donnent du rythme, comme celui des premiers pas du marcheur qui part à la conquête de ses rêves.

2010 0386

 

 

Alors je fais mes premiers pas, vers mes rêves les plus fous. "Des rêves suffisamment grand pour ne pas les perdre du regard tandis que je les poursuit"  (William Faulkner)

 

Les mots sont magiques, et la manière dont nous les utilisons nous permet de belles choses ! Quand ils s'assemblent dans une phrase, ils lui donnent tout son sens !


Je suis toujours admiratif du pouvoir des mots et des belles phrases ainsi réalisées; du talents de leurs auteurs qui leur donnent tout leur sens, le meilleur d'eux même. Ces phrases me donnent de l'énergie, de la motivation, et me donnent envie de les partager avec le plus grand nombre pour transformer et changer... non pas le monde mais ma vision du monde : "Change en toi ce que tu veux changer dans le monde" (Gandhi)


2010 0389

 

Avec ce pouvoir et ce talent qui est en nous,

il est possible de faire de si belles choses.

Et, la première chose à faire c'est déjà de les découvrir,

de prendre conscience de tous ces talents (ses talents)

et ce pouvoir qui est en nous :


 "Nous devons découvrir que nous sommes des êtres dotés de puissance et que nous avons la capacité de changer le monde simplement en changeant consciemment nos croyances." (A.C. Ping)

 

 

 

 

 

 

 

 


 

La seconde chose à faire, lorsque cette prise de conscience se fait petit à petit, c'est de vivre ce rêve, de l'expérimenter, de le réaliser : "Prends conscience du pouvoir que possède ton esprit pour exaucer tes rêves. Quand tu auras fait cela, l'univers conspirera avec toi à te rendre ta vie magique." (Robin S. Sharma)

Alors aujourd'hui, j'ai décidé de commencer à vivre rééllement mes rêves...

2010-2166.jpg

 


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